
20,00€
PRÉCOMMANDE – À PARAÎTRE LE 17 SEPTEMBRE
Dégradation de la biodiversité, dérèglement climatique… les jeunes grandissent aujourd’hui dans un contexte devenu menaçant parce que le vivant se dégrade et se déchaîne. Comment renouer avec le vivant ? Quels liens réels et symboliques nous unissent encore à la nature ?
C’est l’objet de ce livre qui étudie des sociétés où le vivant occupe toujours une place centrale, et d’autres où le lien au vivant a été perdu. Des sociétés où le vivant occupe une place centrale : élément symbolique et pratique, le vivant joue, dans certaines sociétés (Guyane, Brésil, Amazonie), un rôle central dans les rites de puberté sociale. Les plantes, les animaux sont utilisés pour marquer les étapes de la transition vers l’âge adulte : objets rituels, symboles de purification, de guérison… Comment, grâce à ces rites, les jeunes s’approprient-ils leur environnement ? Comment à partir de cette expérience comprennent-ils leur place dans le monde ?
Des sociétés où le lien au vivant a été perdu : mais ce livre interroge aussi la perte de ce lien au vivant dans nos sociétés occidentales urbanisées, industrialisées, informatisées, connectées… Comment réapprendre à vivre avec lui ? Comment renouer avec ces modalités de rencontre du vivant qui renforcent également les liens sociaux en transmettant des connaissances et des valeurs ancestrales ?
Enjeu vital pour notre avenir, Grandir avec le vivant nous ouvre des horizons d’une incroyable richesse, des modèles d’autres cultures, et interroge l’éducation et le faire grandir en Occident. Un ouvrage rare, novateur et essentiel, au coeur des enjeux contemporains.
LES DIRECTEURS DE L’OUVRAGE
Sébastien Chapellon est psychologue clinicien et maître de conférences en psychologie à l’Université de Guyane (Unité de Recherche MINEA-EA-7485).
Jocelyn Lachance est chargé de recherche HDR à l’ITS Pierre Bourdieu, docteur en sociologie de l’Université de Strasbourg et en sciences de l’éducation de l’Université Laval (Québec), et chercheur associé au laboratoire MINEA de l’Université de Guyane.
LES AUTEURS Mara Sierra-Jiménez, Claire Palmiste, Clarisse Ansoe-Tareau, Marc-Alexandre Tareau, Mireille Ho-Sack-Wa Badamie, Thierry Goguel d’Allondans, Chô Ly, Rosuel Lila-Pereira, Mylène Danglades, Marc Lony.